La manipulation de répertoire

Il s’agit ici des commandes pour créer et supprimer des répertoires.

La commande mkdir

La commande mkdir (MaKe DIRectory) permet de créer un répertoire. Le nom des répertoires est sensible à la casse, mais plusieurs répertoires peuvent avoir le même nom du moment qu’ils ne sont pas dans le même dossier parent.

Ce que dit le manuel…

… est accessible par la commande $man commande.

ce_man_mkdir
Un exemple

ce_ex_mkdir

L’exemple ci-dessus montre dans un premier temps le contenu du répertoire /home/gu/. Les deux lignes suivantes illustrent la commande mkdir. Notons qu’il aurait été possible de créer les deux dossiers en une seule ligne de commande, en séparant les deux noms de fichier par un espace. On vérifie ensuite de nouveau le contenu du répertoire /home/gu pour vérifier la création des deux répertoires TEST1 et TEST2. (Le reste de l’image concerne la commande ls, voir le post concerné).

La commande rmdir

La commande rmdir sert à supprimer un répertoire. Attention, sans option, on ne peut pas supprimer un répertoire qui n’est pas vide. Plusieurs options, -i, -r, et -f, permettent différents types de suppression : -r permet de supprimer toute l’arborescence en dessous du dossier spécifié en argument, -f est plus utilisé pour modifier des répertoires appartenant à un autre propriétaire.

ce_ex_rmdir

Ici, on affiche dans un premier temps le contenu du répertoire, puis on utilise la commande mkdir pour supprimer TEST2. On vérifie ensuite en affichant à nouveau le contenu.

La manipulation de répertoire

Naviguer dans l’arborescence

La commande pwd

La commande pwd (Print Working Directory) permet d’afficher le dossier (et donc son chemin) dans lequel on se trouve.

ce_ex_pwd

Dans l’exemple ci-dessous, on se trouve donc dans le répertoire /home/gu. Vous pouvez cliquer sur l’image pour l’agrandir.

Les commandes ls et cd

ce_ex_cd

La commande cd (Change Directory) permet de changer de répertoire courant. C’est donc elle qui permet de naviguer dans l’arborescence. Elle prend pour argument le chemin du répertoire dans lequel on veut se rendre.

Dans l’exemple illustré ci-dessus, on voit que l’on passe de /home/gu à /home/gu/TEST1/. Ici, le chemin spécifié est relatif, ce qui ne pose pas de problème parce que nous sommes dans le répertoire parent de celui dans lequel on cherche à aller.

On voit également une illustration de la commande ls. Elle permet d’afficher le contenu du répertoire courant. Sans option, elle n’affiche que peu d’informations. On peut en obtenir plus en ajoutant des options :

ce_ex_mkdir

L’option -l permet d’afficher également les droits qui sont associés aux différents fichiers ou répertoires, ainsi que la dernière date de modification, par exemple.

Naviguer dans l’arborescence

Séances d’initiation à unix

Cette rubrique concerne les séances de cours (et les exercices réalisés) portant sur les commandes Shell que l’on saisit via l’invite de commande du terminal. Le travail est effectué soit sous Linux, soit à l’aide d’une machine virtuelle simulant ce(s) système(s).

Dans la plupart des cas, un post de cette rubrique sera consacré à une commande (sauf dans les cas où certaines des commandes utilisées ont déjà été évoquées auparavant). Ceci afin d’une part, d’éviter les post trop longs ; pour qu’il soit plus facile de retrouver certains posts en particulier, d’autre part.

A terme, un index des différentes commandes sera inclus ici-même.

Bienvenue !

Bonjour et Bienvenue sur notre blog !

Voici un premier post pour vous souhaiter la bienvenue sur notre journal de bord de notre projet de programmation !

Pour nous présenter rapidement, nous sommes trois étudiantes en première année du Master Traitement Automatique des Langues, co-habilité par l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales (INALCO), l’université Paris 10 Nanterre et l’université Sorbonne Nouvelle Paris 3.
Pour ce projet, effectué dans le cadre du cours Programmation et Projet Encadré de R. Belmouhoub, J.-M. Daube et S. Fleury2, il nous a été demandé de choisir un terme associé d’une thématique (et de son équivalent en plusieurs langues) afin de coder l’analyse automatique des pages web contenant les termes pré-mentionnés.

Si vous n’avez rien compris, c’est normal, nous sommes pour l’instant dans le même état de flou que vous : ). Nous partons donc (joyeusement?) à l’aventure avec, pour tout bagage et seule boussole, un mot, TABOU, et cinq langues : l’allemand, l’anglais, le finnois, le français et le russe.

Souhaitez nous bonne chance et bon vent !

G. Chaminade, J. Potier et C. Vaudapiviz

Bienvenue !